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 Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)

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Sherlock Holmes
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Sherlock Holmes

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MessageSujet: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyLun 11 Mar - 16:25


Nom: Holmes
Prénom: Sherlock
Âge : 30 ans
Sexe: ♂
Origine: Britannique
Groupe: Servant
Vœu souhaité: Dévoiler toute vérité en ce monde. Disons plutôt que cela représente plus le prétexte de sa présence en-dehors du Saint-Graal, qu'il ne désire nullement acquérir.  
Objet lié au servant pour l'invoquer: La plume de Sir Arthur Conan Doyle ayant soit-disant servi à rédiger les œuvres du plus grand logicien, le Stradivarius ayant appartenu à Sherlock Holmes ou bien la montre à gousset du Docteur Joseph Bell.
Classe: Ruler
Source personnage sur l'avatar: Sherlock Holmes de Fate Grand Order


Les lampadaires des rues londoniennes s'illuminèrent un à un, protégeant les passants des ténèbres de cet éternel linceul blanc. L'éclairage sommaire venait caresser timidement les façades des demeures à l'architecture raffinée. Dans l'une d'entre elles, un grand homme mystérieux muni d'une valise en cuir à la main, vint se caler contre le rebord d'une fenêtre. D'un geste ample, il extirpa des jumelles de la malle, jumelles dont il pointa les lentilles à la fenêtre de la bâtisse devant lui. Des rideaux balayèrent tout espoir d'espionner la pièce escomptée, pourtant, quelle ne fut pas sa joie à la vue d'une silhouette d'un buste humain apparaître. Il analysa cette carrure; bien que la toile cachait l'identité de la personne derrière, le voyeur ne doutait pas de qui il s'agissait.

D'après les informations qu'il avait pu récolter par le biais de ses collaborateurs, l'homme en face se trouvait être d'un gabarit élancé mais sec, voire même rachitique selon les périodes. La cause ? Une malnutrition due à une volonté de fer de ne pas se sustenter pendant plusieurs jours d'affilée, trop occupé à sombrer dans les méandres de son esprit. Il paraîtrait même qu'il passe d'une tenue soignée et élégante par le port d'une chemise, accompagnée d'une veste cendrée et d'un pantalon tout aussi sobre, à un tout autre style. Parfois quand l'envie l'en prend, il se laisse aller à un habillement plus débraillé. A une robe de chambre, dans laquelle il traîne avec négligence au bout milieu de son salon avec en prime les tifs décoiffés, une pipe à la main embaumant son antre de fumée. De quoi faire criser sa logeuse. Lorsqu'il décide enfin de sortir de son terrier, on le reconnaît aisément grâce à son manteau de tweed et son Deerstalker. Communément appelé « chapeau de campagne ».

L'espion tapi dans l'obscurité en train de monter un fusil de chasse à l'aide des morceaux éparpillés  dans sa valise, s'imagina quelques instants le portrait d'un visage aux traits droits et sévères. Ces membres oblongs rattachés à cette morphologie guindée, mèneraient à un faciès étroit, menu et inflexible muant toutes émotions qui sauraient l'assaillir en une expression de neutralité et d'impartialité. Des prunelles d'un gris lunaire aux reflets émeraudes, vives et perçantes en quête du moindre petit détail, accolées à une cloison nasale aquiline donnant cet aspect de rapace.Tandis que les commissures de ses lèvres pincées ne se mouvent uniquement que pour faire tinter une voix calme, assortie d'un débit de paroles très soutenu, au cours des occasions qu'il estime opportunes, bien que des sourires de nature mystérieuse se dessinent de temps à autre. Sa chevelure de jais est plaquée sur son crâne, d'où trois petites mèches rebelles surmontent un large lobe frontal qui dissimule un cerveau dicté avant tout par la logique et le rationalisme.

On aurait également narré au traqueur que sa cible affectionnait certaines postures, au dépend de ses pensées ou de son attitude envers autrui. Il s'amusa à élargir la scène à un hypothétique maintien, tandis qu'il levait son fusil vers la tête de l'homme désormais tourné de profil. Sans remords, il appuya sur la gâchette déclenchant un petit sifflement, puis fut témoin de la chute silencieuse de l'ombre. Sa mission était accomplie, cet enquiquineur ne mettrait plus en déroute ses futurs plans maintenant qu'il s'en était chargé. Un craquement de planche survint près de lui, il riva énergiquement les yeux en direction de sa provenance. La stupéfaction le submergea à la vision en chair et en os de sa défunte proie aux cotés d'un groupe de policiers solidement armés. L'homme vêtit d'une longue cape d'une nuance onyx, un revolver d'une main gantée et une canne de l'autre, fixait impassiblement le chasseur piégé:

- Vous voyez Lestrade, ne vous l'avais-je pas dis. Je vous présente Lord Sébastien Moran, fin gourmet des plaisirs de la chasse aux tigres d'Afrique et ancien fidèle lieutenant de Moriarty. Navré d'avoir saboté votre projet d'assassinat sur ma personne cher monsieur.
- Incroyable, comment saviez-vous que...
- Pas tout de suite inspecteur ! Pendant que vos hommes l’emmènent à Scotland Yard, allons plutôt tous trois, vous, Watson et moi, dans mon salon déguster un thé pour que je puisse vous expliquer les démêlés de cette affaire.
- Avec plaisir Holmes, cela fait bien longtemps que je n'ai pas apprécié la délicieuse collation de Mme. Hudson. S'exclama le Docteur John Watson.


Scène interprétée de La Maison Vide de Sir Arthur Conan Doyle

Les flammèches lèchèrent avidement l'écorce du bois, provoquant quelques crépitements dans la cheminée. Un homme d'un âge bien avancé d'une envergure assez imposante renforcée par son embonpoint, lit le journal « The Times » assis confortablement dans l'un des nombreux sièges que propose le gentleman's club dont il est co-fondateur: le Club Diogène. Seul dans une pièce fastidieuse au décor boisé, un maître d'hôtel entra sans laisser échapper le moindre son. En effet, il était coutume dans ce cénacle de ne produire aucun bruit et de rester silencieux. Celui-ci lui apporta un plateau d'argent sur lequel était disposé une feuille de papier. Le mot inscrit à l'intérieur sollicitait de toute urgence une entrevue avec sa personne. L'habitué muet jeta une œillade distraite au message, puis effectua un léger hochement de la tête à l'attention du majordome incliné, signifiant qu'il acceptait la requête. L'employé disparut d'une démarche feutrée un bref instant, l'individu profita de cette absence pour se redresser et se diriger dans la salle voisine. Cette salle étant l'essence même de l'exception qui confirmait la règle du club, une antichambre dédiée aux conversations entre les visiteurs et les membres en cas de nécessité.

Une dizaine de minutes s'écoulèrent où l’énigmatique adhérent se replongea dans sa lecture, s'abreuvant des diverses informations transcrites par la presse. Des pas dans l'escalier se firent entendre, la porte s'ouvrit délicatement à son encontre, un silence régna sur l'assemblée jusqu'à ce qu'une voix aux intonations stridentes retentit, interpellant le lecteur insolite.

- Bonjour Mycroft, comment allez-vous ?

Le prénommé Mycroft n'émit aucun sourcillement, feignant un instant l'ignorance mais finalement posa le bout de papier sur la table d'acajou. Il fit volte-face en tendant sa main à son interlocuteur que ce dernier empoigna, imitant le geste pour le second homme.

- Je vais très bien mon cher frère. Enchanté Docteur Watson, j'espère que Sherlock ne vous maltraite pas lors de ses aventures. Répliqua sans plus de cérémonie Mycroft.
- Enchanté de vous rencontrer également Monsieur Holmes. S'empressa de dire Watson toujours troublé par la nouvelle qu'Holmes puisse être le second d'une fratrie.
- Je me doute de la raison qui vous a guidé à moi ; L’enlèvement d'un interprète, n'est-ce pas ?

Mycroft sourit à l'air médusé qu'affichait le compagnon de route de son frère cadet à sa simple déduction, il s'était permis d'examiner avec minutie le duo d'arrivants. Impressionné qu'une personne puisse supporter le caractère obtus de Sherlock. Ce n'est pas tout le monde qui accepterait de voir sa vie chamboulée par les déductions et les caprices d'un détective asocial. Bien qu'ils soient similaires vis-à-vis de l'importance du raisonnement et de la cohérence, que pour eux les sentiments ne sont perçus comme des freins à cette logique implacable. Leur façon de l'appliquer divergeait, provoquant des railleries entre eux.  Mycroft en tant que consultant  imminent mais secret du gouvernement préférait la bureaucratie et l'aisance d'un bon fauteuil. Quant à Sherlock, il désirait plus que tout élucider les mystères s'offrant à lui et d'y en extirper le dogme, n'hésitant pas une seconde à se risquer de créer des ennuis ou de mettre en danger sa propre vie. Cette obsession d'occuper son esprit par la décortication d'un meurtre, par exemple, s'était produite à l'âge de 15 ans. On peut dénoter l’engouement qu'il porte à la vérité lorsqu'il refuse les quelques sous des ses clients les plus démunis, il le fait pour la passion du sport et de l'exercice logique. A savoir que le gentleman détient un égo tel qu'il n'ait pas peur une seule seconde à s'incruster dans un évènement qui saurait susciter sa curiosité. Vous pourriez le retrouver devant le pas de votre porte, les yeux brillants et l'air concentré sans raison apparente avant de finalement vous calculer.

Pas de place pour les relations qui sont littéralement pour lui comme pour son frère une perte de temps considérable, insistant sur le fait que la plupart des gens se confortait dans leur paresse intellectuelle. Il est pourtant si évident d'assimiler les faits avec du bon sens; malheureusement pas pour le commun des mortels, ce qui engendre l'isolement de la fratrie Holmes à l'encontre de la société. Dédaigneux, sarcastique ou même condescendant envers quiconque peu importe la classe sociale, que ce soit un comte ou une fille de joie. Sherlock  conserve ce caractère en toutes circonstances, il n'a de respect que pour une poignée d'êtres, assez intelligents pour l'avoir mis en déroute. Le qualifier de "sans-gêne" ne serait pas un trait d’exagération, il est passé maître dans l'art de réfléchir en ignorant les protagonistes, voire de les intimer de se taire d'un signe de main clair. Indépendant de toute autorité, conscient comme son grand frère d'être une aide précieuse à celle-ci plus qu'ils ont besoin d'elle. Il est de notoriété publique que le détective consultant se moque ouvertement de l'incompétence de Scotland Yard, malgré tout la renommée ne l'intéresse pas.  Ou du moins quand cela ne lui apporte aucun avantage, mise à part la fierté d'avoir cloué le caquet à Lestrade ou tout autre inspecteur qu'il fréquente, ainsi qu'à leurs raisonnements grotesques. Il encourage même ces derniers à se donner tous les honneurs à la presse d'avoir réussi à  boucler toutes les affaires. L'aîné des Holmes voit en cela une relation de confiance  entre Sherlock et la police, les deux subvenant aux besoin de l'autre partie.

Un tel logicien, bien qu'il ne surpasse pas les capacités analytiques de Mycroft, se doit de posséder un esprit aiguisé. Raison pour laquelle l'oisiveté est l'un des pires ennemis de Sherlock, détestant rester inactif à long terme, il met tout en œuvre pour combler son esprit. Que ce soit par des expériences chimiques douteuses, par des enquêtes à l'autre bout de la terre ou tout bonnement en s'injectant de l'opium et toutes autres substances illicites. Selon ses dires, elles lui permettraient de focaliser ses pensées sur un point ou de plonger plus profondément dans sa propre imagination. S'enfermant dans une bulle, engendrant un dangereux dépérissement, qui pourrait lui être fatal. Watson l'a déjà retrouvé dans un état déplorable au retour de l'un de ses voyages, ce qui a valu au détective un bon sermon provenant du médecin, juste après l'avoir remis sur pieds. De plus vivre avec lui a l'inconvénient de subir son irascibilité, ses manies excentriques d’abîmer le mobilier au grand dam de sa logeuse.

Au contraire lorsqu'une affaire le passionne, Sherlock Holmes s'immerge totalement dans sa résolution, quitte à ne pas se nourrir convenablement, à se murer dans un mutisme de statue. Une fois qu'il dispose d'une théorie, il embarque son camarade quelque soit l'heure de la journée ou de la nuit. Il a une fâcheuse tendance à mettre rarement Watson dans la confidence, l'entrainant au péril de sa vie. Mais également d'enfreindre la loi à l'instant où celle-ci devint un obstacle à ses recherches: vol, effraction, espionnage). A l'heure véridique de la conclusion de son enquête, tel un paon, il aime être en présence d'un public admiratif pour y dévoile tous les tenants et aboutissants d'un secret. Sherlock a beau être un homme lucide, dans des cas extrêmement exceptionnels, il n'hésitera pas à rendre sa propre justice. En effet, il lui est déjà arrivé de faire croire à la police qu'il n'avait pas retrouvé le coupable, considérant que le motif du "coupable" ne valait pas la sentence que les juges lui affligeraient et inversement.

Un dernier fait le concernant est que Watson a découvert qu'ii n'avait pas les fondamentaux d'une culture générale "classique". Il saurait vous énoncer par cœur les plus sensationnels des criminels que la Terre ait connu, ainsi que leur histoire; tous les poisons et les produits chimiques répertoriés à ce jour, et bien d'autres éléments abominables. En revanche, il n'était pas au courant que la Terre tourne autour du Soleil. Son prétexte étant qu'il ne cherche pas à mémoriser les informations qui lui semblent avoir peu d'importance dans le cadre de ses investigations. Allant même volontairement oublier des sujets dans l'objectif de les remplacer par d'autres plus utiles. En-dehors d'exalter pour les pires horreurs que l'humanité sache exprimer, il cultive une passion voire une fascination en ce qui s'appelle 'l'apiculture", c'est à dire la vie et le fonctionnement des abeilles. Ou tout simplement être un mélomane à jouer du violon des morceaux parfois mélancoliques ou bien joyeuses, selon son humeur.  

Le courage du docteur à soutenir son frère tout en osant le rabrouer comme un enfant, aux yeux de Mycroft est une denrée rare. Il entraperçoit une amitié durable et a dans l'espoir que grâce à lui son frère puisse palier à certains de ses défauts avec les années. Derrière ce masque de froideur, l'éminent conseillé du gouvernement est certain que Sherlock abrite des sentiments dormants qu'il est incapable de saisir rationnellement, au contraire de lui. Développant une camaraderie unique, ainsi que la perception du monde sous un angle moins radical.
Un raclement de gorge du cadet le ramena à leur fameuse discussion. De son éternel flegmatisme, Mycroft révèle aux deux enquêteurs les renseignements dont ils ont besoin, et accepte de les épauler.

Scène tirée de L’interprète grec de Sir Arthur Conan Doyle.


N’allons pas par quatre chemins, je me dois de vous relater ma précédente vie. Une existence en somme des plus banales pour un personnage d’exception tel que moi, et pourtant je ne regretterai jamais mes aventures avec mon cher ami le Docteur Watson. Que puis-je vous dire ? … Asseyez-vous donc, mettez-vous à l’aise, voulez-vous une tasse de thé de Mme Hudson ou un peu de tabac ? … Il s’assit confortablement dans son fauteuil de prédilection, en tirant sur sa pipe. Je ne serais pas aussi fantasque, voire romancier que Watson.

Né en 1854 dans un humble manoir établi dans le Sussex, cadet d’une fratrie dont Mycroft Holmes fait partie. On m’attribuerait soi-disant une plus jeune sœur du nom d’Enola, encore une élucubration de féministe qui ose clamer que derrière chaque homme se trouve une femme. Mon enfance s’est déroulée sans aucun encombre, nos géniteurs nous ont élevés dans le respect des lois et de la logique. Ma mère, malgré la particularité de notre famille à apprécier le rationnel, affichait un attrait pour l’art. A n’en pas douter un caractère provenant de la lignée lointaine mais française des Vernet, après tout le peintre français Horace Vernet est un grand oncle maternel.

Dès l’adolescence, je fus attiré par les énigmes qui ponctuent l’activité humaine et particulièrement des événements sordides. Je me munissais d'un bagage universitaire assez diversifié, qui me serait utile à l'avenir. Je créais en 1878 la profession de détective consultant, je me liais avec les inspecteurs de Scotland Yard, et les détectives privés. Ouvert à toutes les clientèles, qui débarquaient expressément pour me quémander conseils. Je me donnais néanmoins le droit de refuser un cas, si le contexte me déplaisait ou que je ne pouvais en retirer aucune exaltation. Je profitais de mon temps libre entre mes investigations afin de former un réseau d’informateurs clandestins, composés de jeunes orphelins que la société délaisse dans les rues Londiennes. Plus tard, je les nommais « Les irréguliers de Baker Street », un atout incomparable pour traquer les truands des quartiers malfamés de l’East End. Ou j’allais m’enfermer dans le laboratoire de l’hôpital aux fins de travailler sur quelques éléments chimiques.

Trois ans plus tard, en 1881, je fis une rencontre qui bouleversera d’une certaine manière mes habitudes de loup solitaire. J’expérimentais dans le plus grand calme des hypothèses médico-légales visant à déceler un réactif chimique qui précipiterait l’hémoglobine. Les résultats de mes recherches aboutirent, lorsqu’un collègue du nom de Stamford apparut dans l’angle de la porte accompagné d’un homme bien bâti. Il fit les présentations, absorbé dans un premier temps par ma trouvaille, je tendis toutefois ma main libre au fameux Docteur Watson. J’entrainais ce dernier avec enthousiasme vers ma table de travail, lui démontrant l’importance de ce procédé que j’avais mis au point. Je ne peux le nier, le fait d’être enfin parvenu à trouver ce qui aurait pu résoudre d’innombrables crimes du passé me galvanisait. Nous nous accordâmes sur la colocation d’un logis au 221B Baker Street que j’espérais ne pas avoir à payer seul. Je fixais un rendez-vous le lendemain pour la visite du dit appartement. Après l’énumération de nos principaux défauts, bien évidemment !

C’est ainsi que j’allais vivre en cohabitation avec ce médecin militaire revenu d’Afghanistan. Les semaines s’écoulèrent où nous vécûmes notre quotidien chacun de notre côté, nous arrivant de partager des promenades dans Londres. Un jour au détour d’une discussion sur le bien-fondé de la déduction morphologique, ou du Cold Reading comme l’énonceraient les mentalistes d’aujourd’hui. Je lui confessai en quoi mon travail consistait, ce qui suscita chez lui un certain intérêt. Je soupçonnais qu’il s’intéressait à mes allées et venues, ainsi qu’à mes visiteurs impromptus, visites pendant lesquelles je lui demandais poliment de ne pas me déranger.

De fil en aiguille, j’embarquais mon colocataire dans une première affaire étrange. Au vue de son ancienne carrière martiale, il ne fut pas répugné par la scène d’une carcasse humaine refroidie. Je m’évertuais à dénicher le coupable, pendant qu’il me talonnait admiratif à chaque démonstration de pure logique, ce qui n’était pas pour me déplaire. Le dénouement de ce meurtre parut le rendre encore plus enthousiaste et téméraire, qu’il affichait au cours de notre première entrevue. Grâce à cet incident, nous commençâmes une longue collaboration. Loyal et patient qu’il était, je n’avais aucun scrupule à le trimballer selon ma volonté dans moult circonstances.  

Si vous vous êtes un temps soit peu penché sur ces chroniques, vous aurez une version nuancée des éléments essentiels de ma vie aux yeux de mon ami écrivain. En effet, vous connaissez donc mon frère Mycroft Holmes transparaissant au cours de trois anecdotes : L’interprète grec, Le Dernier Problème et enfin Les Plans du Bruce-Partinngton. Il ne cache pas son amusement d’être nommé à mes dires, comme la personne ayant de plus grandes capacités cérébrales basées sur la raison que moi-même.

Mais également de La Femme, la seule et unique dame qui aura su me mettre en échec grâce à sa vivacité d’esprit et son habilité à se déguiser. Ma mission la concernant résidait dans le fait de lui escamoter une photographie compromettante, qui aurait pu porter préjudice à Von Ormstein, futur roi de Bohème. J’usais d’artifices et de ruse, allant même jusqu’à être le témoin de mariage propice entre la comédienne du nom d’Irène Adler et son prétendant.  Lorsque je compris où était renfermé le cliché, il était trop tard ! La mariée s’était jouée de moi d’une façon des plus ahurissantes en se travestissant avec perfection en jeune gentleman, pour mieux me reconnaître à mon insu. Cependant, elle promit de ne pas divulguer l’illustration qu’elle avait prise avec elle à son nouveau départ aux cotés de son mari. En compensation à l’emplacement qui était initialement le bon, une autre image de sa personne trônait en souvenir. Je décidai de la conserver pour me rappeler d’avoir été doublé, ainsi que de cet épisode en la compagnie d’une femme si passionnante.

Passons à l’année 1891, mise à part ces protagonistes, rien de sensationnel ne s’est déroulé jusqu’alors. Quoiqu’il y ait bien le mariage de Watson avec Mary Morstan en 1887, une demoiselle côtoyée lors d’une enquête où sa propre vie était en danger. La pauvre enfant avait un brin de courage mais je ne comprenais pas pourquoi mon ami s’était entiché de cette créature au point de précipiter leurs fiançailles. Il emménagea tout naturellement avec son épouse ailleurs, cela ne l’empêchait pas de venir me saluer ou de m’accompagner dans certaines péripéties. Bref revenons plutôt aux points sérieux, cette année fut marquée d’une pierre blanche. Je traquais celui qui était devenu mon ennemi juré, envers qui j’avais un certain respect :  le Professeur Moriarty. Un être doué d’un discernement rare, mon égal que dis-je, tissant dans l’ombre une organisation de criminels d’où il tirait les toiles en tant que criminel consultant. Je le baptisais le « Napoléon du crime » en référence à cette insatiable soif de pouvoir qui l’animait. Je tentais par tous les moyens inimaginables de dissoudre cette association de malfaiteurs en tout genre, en y infiltrant même des agents. Le vieil universitaire de mathématiques perdit patience, me rendant une visite de courtoisie pour m’avertir que ma vie serait désormais menacée par ses soins, quitte à ce qu’il agisse lui-même de manière extrême.

J’entrepris aussitôt d’effectuer un voyage sur le continent d’une durée approximative d’une semaine, mon fidèle associé se joignit à moi malgré les risques du danger et du récit des tentatives d’assassinats dont j’avais été la victime. Sur mes gardes, les nerfs à vifs, je me devais de rester vivant jusqu’à l’arrestation de toute l’organisation criminelle qui se ferait sous peu. Traversant la France, profitant comme si de rien n'était de vacances bien méritées dans ma carrière, nous descendîmes doucement vers la Suisse. C’est pendant une randonnée dont le but était de contempler les chutes du Reichenbach que ma dernière heure arrivait à son terme. Un coursier avait interpellé Watson pour le réclamer au chevet d’une femme souffrante. Réticent à me laisser seul, je le rassurais me doutant pertinemment que le piège se refermait sur moi, ne voulant pas hâter la mort de mon ami. Quelques minutes suivant le départ de Watson, Moriarty apparut d’une façon sereine et pourtant une étincelle de fureur flamboyait au creux de ses iris. Furibond que ma stratégie d’anéantir son ordre ait fonctionné, mise à part quelques exceptions ayant échappé à la justice dont sa personne. Le désir de me tuer n’en était que plus palpable, avant de régler nos comptes, je lui fis une requête : écrire une lettre à l’adresse de mon ami. Souhait qu’il m’accorda. Une fois chose faite, nous nous jetâmes mutuellement sur l’autre dans un combat acharné tels des gladiateurs. Et finalement nous trébuchâmes tous deux de la falaise, le néant des abimes nous accueillit bras ouvert ...

Enfin c’est ce que je voulais faire croire, je réussis de justesse à me libérer de l’emprise de l’ex-professeur, je me réfugiais aussitôt en hauteur avant l’arrivée de Watson. Conscient que quoiqu’il arrive, le génie du mal se prémunirait contre ma survie en postant un de ses complices quelque part, attendant de pouvoir m’abattre comme un chien.  Je fus le témoin impuissant du chagrin de mon ami intime qu’engendra mon décès, je l’observais le cœur empli de tristesse en train de lire mon billet posthume. Je patientai toute une journée dans mon abri inconfortable, le temps que Watson et les enquêteurs menèrent leur investigation menant inextricablement à ma mort aux cotés de Moriarty, mais également que mon chasseur se lasse. Pendant trois ans, je fis le mort en prenant une nouvelle identité, ayant uniquement informé Mycroft de ma survie. J’atteignis le Tibet où je tins compagnie au Dalaï-Lama et d’autres contrées, pour y découvrir d’innombrable mystères sous la couverture d’un globetrotteur Norvégien du nom de Sigerson relatant ses aventures. Je pris finalement l’initiative de rentrer bien qu’il restait un survivant de l’organisation criminelle, l’un des plus redoutables lieutenants : Sébastien Moran. Précautionneux, je demandais l’aide de mon ami après lui avoir donné quelques détails de mon parcours pendant mon absence. Le soir même de ma « résurrection » devant Watson, nous mîment en déroute l’un des plus fervents chasseur d’Afrique dont j’étais la cible depuis plusieurs mois.

Moi, qui au départ de toute cette affaire, réfléchissait à une retraite bien méritée. Je constatais que je n’étais pas encore prêt à tirer un trait sur les énigmes qui peuplent le monde, je me devais de les élucider. Nous réemménageâmes tous deux à Baker Street, en effet Mme Watson mourut prématurément lors de ma disparition, paix à son âme. Je repris mon activité de détective consultants sur plus d’une dizaine d’années où je reçus la légion d’honneur grâce au succès d’une affaire. Watson continua de participer aux intrigues portées jusqu’à nous, bien qu’il reprît peu à peu sa clientèle vers 1903. Quant à moi, je finis par prendre ma retraite officielle, m’installant dans la campagne auprès de mes ruches. Ravi que je fusse d’étudier les abeilles. Ce fut la veille du premier conflit mondial que mon cher ami Watson et moi, nous nous retrouvâmes une dernière fois pour déjouer les plans d’un espion prussien, dont l’objectif était de faire entrer l’Angleterre en guerre. L’aube se levait sur un jour nouveau tandis que nous nous dîmes adieu.

Ce sont sur ces paroles que mon chemin se termine, j’espère que vous l’avez intégré car je ne me répèterai pas plus. Allons ne soyez pas aussi hébété par ce dénouement, vous vous imaginiez une fin plus dramatique comme je les apprécie. Je pressens qu’un questionnement vous taraude, ne m’en dites pas plus. Il lève son doigt mince vers le ciel en signe de sommation. « Êtes-vous réellement un homme historique existant ou un personnage fictif relatif aux nouvelles rocambolesques de Sir Arthur Conan Doyle ? » N’est-ce pas cela votre interrogation ? Il se redressa pour faire face à son interlocuteur, un sourire énigmatique se dessinant sur ses lèvres avant de s’éloigner. C’est à vous de révéler la vérité, si vous en êtes digne.

STYLE DE COMBAT: Le logicien n'est pas le meilleur des combattants, cependant, il a su apprendre des aptitudes de défense de corps-à-corps au cas où il serait contraint de se battre.
- Baritsu: Sherlock maitrise cet art martial de self-defense, qui combine l'usage des meilleurs bottes de différentes disciplines, telle que l'usage de la boxe, l'usage de la canne.
- Épéiste: Bon escrimeur, il utilise en cas de nécessité une lame camouflée dans sa canne, qui fait office d"épée.
- Franc-tireur: Il sait utiliser une arme à feu sachant qu'avec les impacts de balles, il a su écrire "VR" (Victoria Regina) sur l'un des murs de sa salle de séjour. Et qu'il en dispose dans plusieurs de ses enquêtes.

Par ailleurs, Il s'est fabriqué un mécanisme de six loupes attaché au niveau de son corps, l'aidant à observer le moindre petit indice. Ou à les caler de façon à capter la lumière, créant un rayon de lumière d'un diamètre plus large et plus intense. Qui a dis que la science ne pouvait pas être une bonne alliée ?  

La plupart du temps, il restera à l'écart des affrontements optant plus sur de la tactique intellectuelle, qui mêle ruse et manipulation afin de parvenir à ses fins. Usant de déguisements aussi travaillés que divers et variés, étudiant ses adversaires avec la plus grande minutie dans le but de lister les faiblesses et les atouts.

NOBLE PHANTASME: Elémentary My Dear, ce noble phantasme à la base passif consiste à élucider les mystères  et révéler les faiblesses de ses ennemis. Lorsque Sherlock donne son nom, une sphère apparait sous lui et propage une lumière aveuglante aux alentours à l'aide de ses loupes. Ce phénomène affaiblit tout adversaire qui se dévoilé dans les zones éclairées alors que le détective et ses éventuels alliés s'en voient renforcés. Ainsi pendant deux tours, ce noble phantasme permet de réduire la défense des adversaires, d'ignorer les Skills Invincibility et Defense et enfin d'accroitre les dégâts critiques à son groupe d'acolytes. A un rang plus élevé, il aura la possibilité de bloquer le Noble Phantasme des antagonistes pendant 1 tours.  

NOBLE PHANTASME (déblocable au rang désigné): Plus tard

-Pseudo : Sherlock/Shanauc/Yoruichi
-Âge : 25 ans
-Comment avez-vous connu le Forum ? J'ai aidé à sa création.


Dernière édition par Sherlock Holmes le Mar 2 Avr - 5:00, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyVen 22 Mar - 13:48

Double Post très cher Staff afin de vous informer que ma présentation est enfin terminée !
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Shido Emiya
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyVen 22 Mar - 18:23

Hay et bienvenue parmi nous ! Je serais ton premier avis :

Déjà pour commencer, j’ai remarqué quelques choses dans les informations du personnage, tu as noté un voeu. Mais tu as aussi et surtout demander la classe de Ruler . Cette classe à la particularité de ne pas souhaiter obtenir le saint Graal et par conséquence de ne pas avoir de voeu à lui demander . Tu peux donc enlever ce petit bout si tu le souhaites.

Le physique : et bien ... C’est triste mais je n’ai absolument rien à dire dessus. C’est beau , c’est romancé , tout y est , tu nous décris Sherlock par le biais de quelqu’un d’autre . Je salue l’effort mis dans le physique.

Le mental : je vais faire court. Je pense exactement pareil pour le mental que pour le physique. Tout y est et en plus ses romancés que demander de plus ?

L’histoire : bon ça deviens lassant de n’avoir rien à dire à force ... Tout y est encore une fois et en plus ça m'a donner envie de lire les aventures de ce détective ...

Le style de combat et noble phantasm : la, j’ai quelque chose à dire ! Non presque rien en fait ... S'il sait tirer avec des armes à feu, rajoute-le dans le style de combat comme tu la fais pour le Baritus et l’épéiste. Rien à dire pour le Noble Phantasm.


Bon ça va être étonnant, mais ... Tu as mon oui !

Un deuxième admin passera te donner son avis sur ta fiche, puis te validera. Bonne chance !
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyVen 22 Mar - 18:50

Merci cher Shido pour ce premier avis qui fait plaisir.

Pour ta première remarque, en effet j'aurais dû préciser que c'était plus la raison de sa présence dans la guerre, qu'un souhait à proprement dit à faire au Saint-Graal. J'ai donc détaillé un peu plus l'information, si vraiment cela est mieux de le retirer, je le ferais.

1ère Modification: "Vœu souhaité: Dévoiler toute vérité en ce monde. Disons plutôt que cela représente plus le prétexte de sa présence en-dehors du Saint-Graal, qu'il ne désire nullement acquérir."

Ensuite, j'ai rajouté comme demander le fait qu'il sache maitriser une arme en rajoutant Franc-tireur et en le rattachant aux lignes concernées.  

2nde Modification: "- Franc-tireur: Il sait utiliser une arme à feu sachant qu'avec les impacts de balles, il a su écrire "VR" (Victoria Regina) sur l'un des murs de sa salle de séjour. Et qu'il en dispose dans plusieurs de ses enquêtes."

Voila une affaire faite !
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyMar 2 Avr - 2:20

Bonsoir Mister Holmes, et tout d'abord désolée du délai pour votre second avis.

Pour être sincère, je ne vois pas grand-chose à redire... C'est fluide, bien écrit, et même si on met un instant à comprendre où tu souhaites nous emmener,  on t'y suit ensuite rapidement et avec plaisir.

Après, je vais admettre ne pas être experte sur l'oeuvre de Sir Arthur Conan Doyle, et ne pas avoir le temps de la lire en entier juste pour valider cette présentation (à moins que tu n'acceptes d'attendre jusqu'en 2032 environ *sort*). Cependant, du peu que je connais du personnage, tout cela me semble correspondre plutôt bien. En vérité (#transition_foireuse_à_venir), un seul point me chagrine vraiment et il se situe au niveau du style de combat. Si je ne nie pas que notre détective possède des notions d'escrime (Il peut d'ailleurs être également invoqué en tant que Saber), je doute grandement qu'il possède une épée magique, la vérité étant son "arme" métaphorique pour révéler les mystères de ce monde. En revanche, je n'ai rien contre le fait qu'il camoufle une lame dans sa canne si tu le souhaites. Je te laisse donc choisir ce qui te sied le plus sur ce point.



N'hésite pas à me prévenir lorsque tu auras fait ton choix et modifié en conséquence.  Smile
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyMar 2 Avr - 5:26

Bonjour Miss Mae,

Dans un premier temps, je vous remercie d'avoir pris le temps d'écrire votre avis. En effet, je comprend à raison la subtilité de la métaphore et donc l'erreur que j'ai pu commettre en traduisant le point concerné. Ainsi je me permets de rédiger le sujet litigieux comme ceci:

3ème modification: "- Épéiste: Bon escrimeur, il utilise en cas de nécessité une lame camouflée dans sa canne, qui fait office d"épée."

Voilà une vérité remise au goût du jour, si vous me passez l'expression.
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MessageSujet: Re: Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours)   Chaque personne détient un secret, je dévoilerais le vôtre sous peu ! (En cours) EmptyMar 2 Avr - 8:40

Merci d'avoir pris le temps de modifier, c'est parfait !

Ceci étant donc réglé....
Félicitation, tu es désormais validé. Tu vas pouvoir montrer ta valeur dans le monde fabuleux de Fate tout en t'amusant à RP. Néanmoins comme dit l'adage "Après l'effort, le réconfort", il te reste encore à faire ta fiche technique, ainsi que recenser ton avatar. Il t'est également possible de créer ta fiche de gestion afin de répertorier liens et RPs, bien qu'elle soit totalement facultative. Pour finir, jette un coup d'oeil peut-être aux demandes de RP, un futur partenaire t'attend sans doute. À la suite de cela, tu seras enfin prêt à affronter les obstacles qui se placeront en travers de ta route.
Nous te souhaitons bonne chance dans cette guerre, et particulièrement de te divertir parmi nous en jouant ton personnage.
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