Une Rencontre Des Plus Banal ... [RP LIBRE]

Cela faisait plusieurs jours que tous, c’est incident, c’était produit dans ma vie ... La mort de ma tante, le manoir, cette femme renarde, cette guerre du saint Graal, le fait d’être un master ... Trop de choses qui font que je devais souffler un peut pour pouvoir me reprendre. Je décidais donc de sortir du manoir. Malgré toutes les mises en garde de Tamamo et le nombre de fois ou elle avait tenter de m’accompagner, j’avais réussi l’exploit de pouvoir sortit seul ... Mais ce n’était pas sans conditions !

Premièrement, je devais impérativement cacher la marque qui était sur ma main ... Comment elle avait appelé sa déjà ... ? Un command ... Quelques choses... Bref, le nom n'était pas vraiment intéressant... Deuxièmement, je ne devais pas hésiter à l’appeler si j’avais besoin d’aide, elle m’a parlé qu’elle pourrait venir comme par magie à moi si je le souhaitais de tout mon cœur ... Enfin, c’était encore une information qui était passer d’une oreille à l’autre. Je prenais une paire de gants, l’enfiler pour cacher ma marque et sortis de la maison.

Tout ce qui comptait et que je pouvais enfin sortir pour me changer la tête de toutes ses pensées. Je marchais donc seul sans but précis, juste regarder la verdure et le ciel autour de moi me suffisait amplement, je continuais de gambader tranquillement quand soudain mon ventre se mit à lâcher un gargouillis des plus disgracieux. Je posais ma main sur mon ventre tout en le regardant, il est vrai que je ne mangeais pas vraiment ses derniers jours et puis maintenant il y avait une bouche de plus à nourrir à la maison, quelques choses de totalement logique se mit à me parcourir le cerveau. Il allait falloir faire les courses !

Finalement mes déplacements fut beaucoup plus précis que précédemment, d’une démarche désinvolte, je finissais par passer par une démarche déterminée, celle de remplir le frigo pour ce soir !

Après quelques minutes de marche, je me retrouvais donc à une supérette des plus banale, mais si vous savez le genre qu’on peut trouver à tous les coins de rue d’une ville comme Tokyo, celle qui est ouverte 24 h/24. Je prenais un panier à l’entrée et commencer à chercher mon bonheur parmi les rayons.

Je remplissais mon panier des différentes denrées, des légumes, des fruits, des chips, que des choses bonne pour le corps !

Je m’approchais donc du rayon des viandes et commencer à les fixer. Je venais de me poser une question sûrement existentielle sur le moment. Qu’est qu’elle aime manger Tamamo ?

Je me grattais la tête un peut sceptique, si ça se trouve, je prenais des choses qu’elle n’aimerait pas du tout, je restais au milieu du passage réfléchissant à ce que Tamamo aimait manger quand soudain, je me fais renverser par un homme beaucoup plus baraqué que moi ...

Je me retrouvais les fesses au sol et me grattais la tête comme pour voir si je n’avais rien eu, l’homme quant à lui me regardait avec un air de mépris me faisant vite comprendre que je le gênais :

« Dégage le morveux...»

Je me mis à soupirais discrètement puis à me décaler du frigo, l’homme quant à lui vida littéralement le frigo de viande, je le regardais partir un peut triste emmenant toute la viande ... Je me mettais accroupi et me dépoussiérais les habits puis me mit à ramasser mon panier ainsi que son contenu qui s’était vider au sol, je ramassais tous les articles quant au moment de ramasser la dernière boîte, un pied se trouvait juste devant l’objet, m’empêchant de l’atteindre.

«Excusez moi ... J’aimerais récupérer cette boîte s’il vous plaît ...»

j’étais accroupi au niveau de cette personne et lever la tête pour la regardais .

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S'aventurant dans les rues de cette immense ville de métal, plus impressionnante et lumineuse encore, que ne pouvait l'être Londres à cette époque reculé qui était la sienne, Allan s’émerveillait de tant d'étrangeté de cette dernière et de ses habitants. Époque révolue, que les gens de maintenant nommèrent Victorienne, que Dieu garde la Reine, Quatermain semblait tout de même nostalgique de se passer lointain.

Marchant d'un pas décontracté et parcourant son regard ici et là, le Gentlemen Anglais ne tarda pas à s'aventurait quelques instants devant un commerce de proximité, Konbini que nommaient ainsi les Nippon, scrutant ainsi quelques revus mit en évidence. Sujet divers et varié, la curiosité prit le dessus sur lui et le fit entrer au sein du commerce. S'aventurant dans les rayons, s'approchant de quelques magazines et entamant quelques pages de ses derniers, après quelques minutes à dévorer des récits très encré dans l'actualité et les mœurs qui le dépassé un peu, sa curiosité le fit parcourir les autres étales de l'établissement.

Ainsi en pleine analyse de quelques produits qui l'intrigué, une voix vint à le sortir de ses pensées. Comprenant la détresse de son interlocuteur, l'Anglais s'écarta prestement de ce dernier pour lui laisser la place de récupérer son bien.

Navré, je n'avais pas fait attention. Souhaitez-vous un coup de main ?

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Je levais les yeux et qu’elle fut ma surprise de voir la personne face à moi, ma première impression était des plus simples, on aurait cru que cette personne était hors des âges !
Une tenue d’aventurier comme on en voyait dans les films, c’était un très très vieux film ... Comment s’appeler t’il déjà ... ? Ah oui ! Indiana Jones !

Mais ce qu’il me marquait le plus était l’âge de la personne, elle avait l’air assez vieille, mais pourtant en forme, comment aurait il pus avoir une telle musculature s'il ne prenait pas un minimum soin de sa personne ?

Je continuais de le regardais, perdu dans mes pensées, j’étais à la limite de le dévisager quand celui-ci se mit à m’adresser la parole et qu’elle fut ma surprise d’entendre sa voix et surtout son accent, visiblement, il ne venait pas du tout d’ici. Il avait un ton de voix si noble et pourtant sa tenue montrer le contraire ... Peut-être qu’il faisait juste ce qu’on appelle du « Cosplay » ? Oui ça devait être ça ! Sinon pourquoi se balader dans ce genre d’accoutrement dans la rue.

« Oh ! Euh ... Non merci, mais c’est très gentil de votre part !»

Je reprenais en vitesse les dernières conserves et les articles se trouvant à ses pieds, les jetaient dans mon panier à main puis je me relevais face à lui, finalement il n’était pas si grand que ça vu d’en haut, il me paraissait beaucoup plus imposant quand j’étais accroupi au sol, mais ça lui donne un air ma foi plus sympathique vue d’où je suis, je le regardais et lui dit :

« Je suis désolé de vous avoir dérangé durant votre lecture ... Je m’appelle Shido Emiya ! Et vous ?»

Je lui tendais ma main comme pour lui montrer un signe de gentillesse, après tout, il était normal pour moi de se saluer par une poignée de main lors d’une première rencontre.

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Voyant son interlocuteur s'arrêter quelques secondes sur sa personne, semblant surprit, sans nul doute le fait est qu'il avait en face de lui un occidentaux dans la force de l'âge, Allan laissa le jeune homme récupérer ses affaires et vint à poliment serrer sa main quand ce dernier vint à se présenter à lui. Prit de court, l'Anglais vint à prestement se trouver un patronyme de circonstance.

Archibald Goichi, enchanté ! Répondit-il après quelques secondes, dans un Japonais aux accents très Britannique. Venant à repositionner un magazine qu'il tenait en main, le vieil Anglais poursuivit. Vous êtes de la région ? Mon fils vie depuis peu dans le coin et je suis venu lui rendre visite, ainsi que faire un peu de tourisme.

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Je regardais le vieil homme avec étonnement. Il s’appelait donc Archibald ? Ce n'est vraiment pas un nom très commun. Je me demandais de quelle nationalité pouvait, il bien être d’origine, en tout cas, c’était certain qu’il n’était pas japonais . Je le regardais admiratif et finit par lui dire :

« Oui, je vis ici ! Et pour votre fils hum ... Goichi... Non ce nom ne me dit rien ! Mais si vous voulez je peux vous aider à le chercher grand père ! Je connais plutôt bien le coin.»

Et oui, Shido était ce genre de personne, le genre à prendre vite ses marques avec les personnes qu’il croise, il poser son panier avec ses courses dedans, puis prit une carte qui se trouvait non loin des magazines que le vieil homme feuilleté. C’était certes une carte touristique, mais il y avait dessus d’écrit toutes les rues dans le quartier ou nous nous trouvions.

« Alors le Konbini ou nous nous trouvons est ici ! Là-bas il y a pas mal de maison et ici des immeubles. Votre fils est en immeuble ou a une maison ?»

Je tournais mon regard vers lui attendant une réponse de sa part.

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Généreux, semblait le jeune homme qu'avait en face de lui le vieil Anglais. Souhaitant porter son aide sur un mal entendu, l'Archer ne le coupas guère dans son élan, ne souhaitant clairement le vexer sur le moment, puis quand ce dernier lui tendit une carte, Quatermain ne put que sourire.

C'est très gentil de votre part, jeune homme, navré si mes propos vous on laissés penser le contraire. Répondit-il après quelques secondes avec un air quelques gênés. Je ne suis aucunement perdu pour le moment du moins, mais je vais tout de même acheter cette carte à l'occasion. Je pourrais effectivement me perdre dans cette immense ville, mais en tout cas, c'est très altruiste de votre part jeune homme. Tendant la main pour récupérer le dit plan, l'Anglais attendait patiemment que l'on lui donne.

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Identité: Inconnue
Age: Inconnu
Statut: Inconnu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Alors que je venais de quitter le Vatican j’étais prise d’une bouffée de nostalgie en me redirigeant au Japon. On était nombreux dans l’avion la plupart des cursed étaient intenables. Tellement qu’on a dû faire plusieurs arrêts pour éviter l’accident d’avion… Après avoir participé à la tentative d'accalmie, les plus sages eurent le droit à un temps de pause pendant la remontrance des autres. Je n’aurai vraiment pas aimé en faire partie… Vous auriez vu la tête que tirait Amélia j’en ai encore des frissons.

J’ai donc commencé totalement par hasard mon petit congé à Shinjuku avec la petite bourse offerte par le clergé afin que nous ne fassions pas que marcher bêtement. Je cherchais les salles à Pachinko et au détour d’un virage je vis une personne à l’aura magique dangereuse. Ce n’est clairement pas mon jour de chance surtout depuis que ma malédiction agis bizarrement j’ai vraiment besoin d’entraînement là pas d’un combat.

Je restais donc bêtement devant les deux hommes, l’homme dangereux à l’apparence de vieillard et un autre jeune homme qui semblait lui tendre une carte. Celui-ci aussi émettait une faible aura magique mais rien d’anormal par les temps qui courent. Beaucoup de questions se bousculaient alors dans ma tête… Si le vieillard devenait hostile il fallait que je défende le beau jeune homme et de cela j’en étais certaine.

Je regardais Archibald comme perdu dans mes propres pensées. Il n’était donc pas perdu ? J’aurais cru pourtant ... Tant de questions traversaient de nouveaux ma tête quand soudain, je vis la main du vieil homme ce tendre face à moi. Au début, j’avais du mal à comprendre ce qu’il voulait quand soudain un éclair de lucidité frappa mon cerveau :

« Je... Ah oui la carte ! Pardonnez moi !»

Je posais donc la carte touristique replié dans le creux de sa main. Soudain, un léger frisson se mit à me parcourir le corps. Mais si vous savez le genre de frissons que l’on ressent, lorsque l’on a cette sensation de se sentir observer. Je tournais ma tête à gauche et à droite comme pour chercher d’où cela pouvait, il bien venir.

Mon regard se posa sur une jeune femme , ou plutôt une jeune fille . Elle avait des cheveux mi-longs de couleur brun, des lèvres assez pulpeuse avec une forme plus qu’étrange ... D’ailleurs ce qui était étrange, c’étaient ses tatouages sur les joues. Sa tenue quant à elle était de plus simple, je clignais des yeux avant de lui demander :

« Vous désiriez quelques choses mademoiselle ?»

Les quelques secondes de blanc me donnaient froid dans le dos, qu’est qu’elle nous voulait au juste. Elle ne sais pas que ça ne se fait pas de fixer des gens comme ça ? Ça peut les mettre très mal à l’aise. Je tournais mon regard vers le vieil homme , mon regard lui envoyant un appel à l’aide incontrôlée dû au malaise que la jeune femme m’inspirer.

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Récupérant poliment la carte que détenait le jeune homme qui lui faisait la conversation, l'Anglais l'ouvrit alors quelques secondes et en scruta son contenu avec attention. Ayant pressenti une étrange sensation d'être observé, c'est son interlocuteur qui vint à réagir le premier en abordant une personne. Comprenant dans les paroles de se dernier qu'il s’agissait là d'une jeune femme, Quatermain releva tranquillement le regard et le posa sur cette dernière avec un regard intrigué, mais en rien mauvais, tout au contraire.

Désirez-vous vous aussi un de ces cartes ? Lança-t-il poliment en lui tendant celle qu'il tenait en main et qu'il avait soigneusement replié pour l'occasion.

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Identité: Inconnue
Age: Inconnu
Statut: Cherche une salle pour jouer, semble nerveuse/étrange.
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Calme toi moi. Il faut que j’agisse normalement ou ils vont se douter de quelque chose. Ou peut-être que c’est déjà fait? Quels sont mes possibilités de fuite? Le toit? Non. La course? Pas sûre il faudrait des obstacles…

Vous désiriez quelque chose mademoiselle? Le jeune homme me sortit rapidement de ma réflexion et semblait inquiet sans doute par mon comportement. Je me met donc à chercher quoi lui répondre pour démêler cette situation toujours en faisant attention de ne pas énerver le monstre qui me fait face sous l’apparence d’un vieillard.

Désirez-vous vous aussi une de ces cartes? me dit alors cette personne. Très certainement un gentil monsieur qui cache bien son jeu. Je ne peux décemment pas laisser le jeune homme en sa compagnie c’est beaucoup trop dangereux.

Oui désolé Ojii-san j’étais ailleurs. La carte que vous teniez c’est exactement ce qu’il me manquait. Je cherche les salles à Pachinko peut-être pourriez-vous m’y guider? hahaha. Je tente alors de m’emparer doucement de la carte tendue avec ce rire nerveux qui me donne envie de me baffer. Je sens mon coeur battre la chamade mais garde mon calme. Ma main reste alors posée au-dessus de la sienne. Une goutte de sueur ruisselle le long de mon visage je suis comme tétanisée par la peur et je reste comme une idiote sans bouger la main sur la carte pliée.

Pourquoi faut-il que cela arrive alors que je voulais juste m’amuser au Pachinko? Bon sang!

Décidément ! Je rencontrais vraiment des gens étrange aujourd’hui ! Un vieil homme étranger et maintenant une jeune fille avec un comportement suspect. Devrais-je peut être appelé la police .. ? Nan vu l’allure d’Archibald ce n’est pas sûr qu’il arrête la bonne personne ...

Quelques choses me tracassaient vraiment dans leur discutions, elle voulait aller au pachinko ... Certes... Mais elle avait quel âge au juste ? Pour moi à vu de nez, elle n’était pas plus vieille qu’une lycéenne, les jeux d’argent sont pourtant interdit au mineur si je ne m’abuse ...

J’attrapais l’avant-bras de la jeune fille et le regardais droit dans les yeux tout en lui serrant très légèrement :

« Excuse moi, mais le pachinko n’est pas une bonne idée pour une jeune demoiselle comme toi, tu as quel âge au juste ?»

Je regardais le vieil homme et lui lança un regard plein de justice :

« Elle ne devrait pas y aller, Archibald, elle est encore mineure. Qui sais ce qu’il peut lui arriver là-bas !»

Je continuais de lui tenir l’avant-bras, mais quelques choses me chiffonnaient de nouveau ... C’était une drôle de sensation au toucher ... La peau est censée être douce, et ce, malgré les vêtements non ? Alors pourquoi j’avais l’impression que c’était si dur sous ses vêtements ... ? Je la regardais avec un regard plein d’interrogation ...

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Devenant spectateur d'une scène qui le dépassé quelque peu, Allan, des quelques informations misent à disposition par le Graal, fit ainsi le lien entre cette notion de ''Pachinko'' et de ce qu'il devait en savoir sur la législation en vigueur du pays, en lien avec les jeux d'argent. Comprenant l'inquiétude de son interlocuteur de par l'aspect relativement jeune de la jeune femme, pour ce qui était de l'approbation que cherchait ce dernier, le Servant était plutôt dubitatif.

Vous savez jeune homme, si cette jeune femme cherche un tel lieu, c'est qu'elle est en droit d'y rentrer, voir à y rejoindre une personne. Donc relâcher là, je conçois votre inquiétude, mais une personne extérieur à la conversation pourrait rapidement se faire des idées sur vous et votre attitude, pensez-y. Lança-t-il poliment d'un ton rassurant et en souriant à la jeune femme.

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Identité: Inconnue
Age: Inconnu
Statut: Cherche une salle pour jouer, semble beaucoup plus calme depuis qu’on lui a pris le bras.
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

J’étais crispée sur le bout de papier si bien que je l’aurai presque chiffonné. Heureusement que le jeune homme me prend le bras juste après, ça va me permettre de débloquer la situation et peut être de faire l’impasse sur la montagne magique qui me fait face…
Excuse moi, mais le pachinko n’est pas une bonne idée pour une jeune demoiselle comme toi, tu as quel âge au juste?

Hmm? Pourquoi aller au casino n’est pas une bonne idée? Ah! L’âge… C’est vrai que nous sommes pas au Vatican entre cursed ici. Je retire alors mon bras rapidement et m’apprête à lui répondre. Cependant il se mit rapidement à parler au vieux me coupant dans mon élan. Elle ne devrait pas y aller, Archibald, elle est encore mineure. Qui sait ce qu’il peut lui arriver là-bas!
Cher gentilhomme. Tu es très perspicace… Et c’est charmant de ta part de t’inquiéter pour moi. J'aimerai te le dire. Tout comme j'aimerai te dire dans quelle situation nous sommes toi et moi. Je te jure que j’irai pas au pachinko sur tes dires. Juste pour éviter d'être là aujourd'hui sans ma lame et sans équipe face à un démon déguisé en grand père.

Vous savez jeune homme, si cette jeune femme cherche un tel lieu, c'est qu'elle est en droit d'y rentrer, voir à y rejoindre une personne. Donc relâcher là, je conçois votre inquiétude, mais une personne extérieur à la conversation pourrait rapidement se faire des idées sur vous et votre attitude, pensez-y. En temps normal j’aurai trouvé ce monsieur charmant… Vraiment charmant. Mais vous avez déjà vu un sourire magique qui va littéralement jusqu’aux oreilles tellement ça déborde tel des flammes d’un bleu azur? Et bien c’est à peu prêt ce que je vois actuellement chez ce monsieur en très exagéré. Mais le ressenti y est.

Au vu de la situation je stress peut-être pour rien. Je vais rester sur mes gardes tout en jouant le jeu, peut-être que ce démon ce délecte juste de notre innocence et nous laissera tranquille. Je pense qu’il va falloir que j'améliore ma communication à l’avenir afin de mieux comprendre ceux qui me font face.

Je tousse un peu afin de reprendre le lead de la conversation et aussi pour m’éclaircir la gorge. Je ne me suis pas présentée, je m’appelle Yoko, “ravie” de faire connaissance avec d'aussi "charmantes" personnes. Je retousse un coup… Les mots ravie et charmant n’ont pas dû passer correctement. Je suis effectivement majeure ne vous inquiétez pas. J’apprécierai grandement que l’un de vous deux accepte de m’y accompagner. Ce que n'importe quel mentaliste compétent pourrait traduire sur mon visage par "Je suis effectivement mineure ne vous en inquiétez pas le problème n’est pas là et j’espère rapidement sortir de cette situation avec le jeune homme".

Je regardais Archibald comme un peut triste de sa réponse, après tous, il n’avait pas tort. Si elle disait être majeure, je n’étais pas de la police, je n’avais pas à lui demander une justification et encore moins de la mettre dans un tel embarras.

Je finissais par lâcher un léger soupire et me mit à gratter ma tignasse qui me servait de cheveux :

« Et bien, je sais où se trouve le pachinko le plus proche ... Je peut vous y emmener si vous le vouliez bien ...»

J’étais encore un peut sceptique sur les dires de la jeune femme, mais ce n’était clairement pas à moi de la contredire, je me tournais en direction du vieil homme et lui jetais un regard plein d’insistance :

«Vous voulez venir avec nous, Archibald ? Ça vous permettra de voir un peu le quartier au moins !»

J’attendais une réponse du vieil homme tout en me trouvant non loin de la jeune femme.

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Étant témoins de la gêne que cherchait à dissimuler la jeune femme, le Servant voyait clairement dans ses paroles qu'elle mentait sur son obtention de la majorité en vigueur dans ce pays. N'étant clairement pas dans ses habitudes de pourrie ainsi une personne pour une chose qu'il juge tout bonnement futile, le Britannique laissa le mensonge prendre et son première interlocuteur prendre les devant en souhaitant guider cette dernière à place.

Oh, c'est gentil à vous jeune homme, mais je crains que ces choses ne soient plus de mon âge. Lança-t-il poliment et en souriant. Tournant son regard vers l'extérieur du magasin, ainsi, parmi les passants, une silhouette se dessina. La personne qui se dressait là ne lui semblait pas étrangère, pourtant, cela était étrange, car la seule personne qu'il connaissait à cette époque, était son Master, ce que cette personne n'était guère.

Buguant pour ainsi dire quelques secondes face à cette trouvaille, l'homme reprit et reposa son regard vers le jeune homme : Allez-y tous les deux, nous aurons peut être la chance de nous recroiser.

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Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Semble pressée et à la recherche d’une salle de jeu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits, téléphone portable avec plusieurs photos “d’Archibald” et d’un inconnu devant une épicerie.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Quand le jeune homme c’est mis à demander au vieux de nous accompagner j’ai cru que j’allais l’étrangler tel une serviette qu’on essore. Cependant la réponse négative ma foi surprenante de la créature répondant au nom “d’Archibald” m’a fait pousser un souffle de soulagement involontaire.

Court fut ce souffle quand je compris la raison pour laquelle “Archibald” acceptait de nous laisser. Un autre démon! Il était là, ses habits étranges me rappellent la description sommaire du comte Dracula dans les histoires d’horreur qu’on se racontait pour passer le temps. Jamais je n’aurai cru le voir en personne se tenant devant un combini…

Ojii-san, je vous remercie grandement du temps que vous m’avez accordée, je vous souhaite une bonne journée. Je me tourne alors vers mon mignon guide. Je vous laisse passer devant pour me montrer la voie à suivre je vous remercierai d’un verre ou d’une dagashi à l’occasion.

J'emboite rapidement le pas préparant mon téléphone en mode rafale qui se trouvait dans la poche intérieure de ma veste. Je laisse mon doigt appuyé sur le bouton de prise de photo et discrètement je prend en photo les deux démons faisant mine de me servir du téléphone comme miroir pour replacer mes cheveux. Seule je n’aurai aucune chance mais face à la justice divine ils seront purgés.

Un siècle s'était écoulé depuis mon trépas, pourtant le monde tournait toujours de la même façon. Certes, l'avancée humaine paraissait en être que plus brillante grâce à ces nouvelles machines qu'ils qualifient de "numériques". Ma "résurrection", enfin disons plutôt une invocation d'esprit par un humain, un peu trop spirituel pour un homme de raison tel que moi, me permit de m'amener à un premier constat. L'Homme avait eu beau évolué, il n'en restait pas moins individualiste d'après mes observations, un certain nombre penchait inconsciemment sur le clavier de leur portable, des petites vitres transportables emmagasinant des tonnes de données. A la fois pratique pour des investigations plus poussées, toutefois, cela avait tendance à réduire la capacité humaine à mémoriser lui-même les informations. Malgré les inconvénients à en détenir un, je considérais que ce bijou d'industrie aurait une utilisation pertinente dans les jours, que dis-je les mois qui vont suivre. En tout cas, mon master ne se sépare jamais de cet outil, tapotant pour envoyer un message en une seconde rendant plus que désuet les télégraphes. Je m'en fournirais dans un avenir proche, ainsi que tout appareil mis à disposition pour parvenir à mes fins, tous les moyens sont bons.

Canne à la main, je me promenais dans la ville curieux d'en savoir plus sur mon nouvel environnement. J'avais la permission de mon Master d'explorer le terrain, tant que je ne m'éloignais pas trop dans notre intérêt à tous les deux. Négocier un entente me déplaisait notamment quand il s'agit de ma liberté de mouvement, pas le choix être invoqué contraignait à des responsabilités. Je disposais déjà certaines informations par le biais du Graal, malheureusement c'est loin d'être une encyclopédie. Peu importe débrouilrd et perspicace comme je suis, je saurais très vite me familiariser avec le XXIIème siècle, ainsi que les coutumes des japonais. Mes iris grisâtres se levèrent vers un ciel clément et chaleureux, rien avoir avec le climat de Londres et son torrent de mélancolie, ma cape toujours sur mes épaules. Ne pas en profiter pour visiter serait un crime, avec un peu de chance, je dénicherais un sujet digne d’intérêt, mise à part remarquer une surpopulation et des tours en verres géantes dressées à plus de 100 mètres de haut, rien d'assez extravagant pour attirer mon attention.

Mon regard désinvolte se posa à l'intérieur d'une petite épicerie d'arrondissements, plus précisément sur des étalages où des sachets de thé y étaient placés. Me remémorant instinctivement les agréables heures de thé en compagnie de mon fidèle le docteur Watson, d'un pas distrait et un tantinet nostalgique en cette occasion, je m'approchais de la vitrine. Une envie singulière de reboire ce doux nectar me tirailla faussement la gorge, singulière car en tant qu'esprit la notion de nourriture n'était que subsidiaire à ma condition, cette pulsion s'apparentait à un plaisir ou à de la gourmandise. J'allais me détourner de la tentation lorsque je perçus un groupe plutôt atypique, deux jeunes gens discutaient avec un vieille homme tout chez lui dénoté un style étranger. Européen à n'en pas douter par son faciès, à la carrure robuste dégageant de la vigueur malgré son âge avancé. Sans doute, l'homme sentit que je le scrutais de manière plus approfondie, il riva dans ma direction en plissant les yeux. Je n'émis aucun geste d'excuse pour mon intrusion visuelle, pourquoi le ferais-je malgré mon flegme britannique, je gardait cet humeur excentrique et peu sociable. Je nierais jamais être sans gêne, particulièrement quand un point m'intrigue.

Je lui dédiais un léger sourire de satisfaction, j'extirpais de ma poche une cigarette que j'allumais à l'aide d'un briquet, invention récente créant une flamme. Il y avait de quoi se bruler les doigts, rien de comparable à ce que je m'inflige au cours de mes expériences de chimie. Pour pouvoir me fondre dans la masse, je devrais commencer par adopter le comportement de la société actuelle, rien de plus aisé. Finalement, je tournais le dos à la boutique pour fumer tranquillement. Un passant m'interpella de vive voix en me pointant une direction:

- Monsieur, s'il vous plait, allez dans les endroits appropriés.

- Hm, plaît-il ?

- Votre cigarette, fumez la à l'intérieur des espaces destinés à cet effet. Si on vous surprend, vous écoperez d'une amende.

- Je vois. Dis-je d'un ton semi-agacé, interrompu dans mon fil de pensées.

Je regardais Archibald avec un air légèrement triste :

« Bon très bien ... On y va, Yoko ...»

Je salué le vieil homme d’un geste de la tête comme pour lui dire au revoir et me dirigeais doucement vers la sortie de la petite boutique.
Je passais donc doucement la porte de la petite enseigne tout en la tenant pour que la jeune femme puisse passer quand soudain mon regard se porta sur une personne qui se trouvais dehors...

Un jeune homme ou plutôt un homme, il devait avoir dans la trentaine environ, il avait une belle silhouette, on voyait clairement que c’était un homme qui prenait un minimum soin de lui. Cette chevelure d’un bleu foncé sans nom, rappelant fortement le ciel des nuits étoilées. L’homme avait une cigarette entre les doigts et venait tous juste de se faire réprimander.

« Regarde Yoko ... C’est un bel homme quand même ...»

Je m’approchais doucement de lui et le regardais :

« Excusez moi monsieur ... Vous cherchez quelques choses ? Où êtes-vous seulement perdu ? Si c’est le cas je peux vous aider !»

Et oui, j’étais quelqu’un comme ça, le genre de personne à aller aider n’importe qui,qui me semblait dans un quelconque besoin,ce qui me remplissait plutôt bien mes journées, on ne va pas le cacher.

J’attendais une réponse du bel homme tout en me trouvant entre lui et l’entrée de la boutique.

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L'étrange duo venant à se congédier du vieil Anglais, ce dernier les regarda alors prendre le chemin de la sortie, puis ne les quitta guère du regard jusqu'au moment où le jeune homme vint à s'approcher d'un homme. Cet homme, n'était autre que la personne qui avait déjà attiré son regard quelques instant plus tôt. Fumant en lieu public, chose que savait illégal Allan, remerciant au passage les quelques notions dont l'avait instruit le Graal, l'homme qu'avait accoster le duo ne lui était clairement pas inconnue, pourtant la logique avait une barrière qui l'empêché d'être claire à cet instant.

Cherchant quelques instants alors que le trio semblait échanger quelques mots, banalité sans doute, Quatermain comprit avec quelques doute que cette personne n'était pas de cette époque, nan, il n'était guère une personne dont-il avait croisé le regard ses quelques dernières heures. C'est ainsi derrière cette vitre, le regard plongé sur cet homme, que Quatermain chercha dans son passé, puis dans un éclair de génie, ne put retenir quelques mots qui vinrent à lui échapper : Élémentaire, mon cher... Nan, comment est-ce possible ? Lui aussi ?

Allan avait été frappé par son souvenir, car cet homme il le connaissait, quand bien même l'avait-il rencontré au cours de ses dernières années et que tout deux était plus âgé qu'à l'heure actuelle, du moins Allan plus que l'autre en question. En tout cas, la présence de cet homme ne laisse prétendre qu'à une chose, lui aussi était un Servant, plus qu'un potentiel immortel. Sherlock Holmes, l'illustre détective, passé lui aussi au stade de la pure fiction était revenu d'entre les morts pour cette guerre, mais était-il un adversaire pour autant ?

Restant dans son coin de supérette, à loin de la conversation, Allan récupéra à nouveau une carte, puis fit mine de la lire, alors que son regard revenait régulièrement sur le trio à l'extérieur.

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Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Semble pressée de trouver sa salle de jeu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits, Téléphone portable.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Un beau quoi? Ce monstre est un bel homme? Reviens ici malheureux! Mais tu vois pas qu’il allait fumer une cigarette? AAAAAAAAAAAAAAH. Je tape du pied sur le sol furieuse.

J’allais enfin sortir de cet enfer sur terre pour rejoindre un eden du divertissement de mon pays natal. Une gigantesque salle pleine de petites boules qui font beaucoup de bruit. Mais si vous savez; *ding ding ding ding*.

Maintenant j’ai l’impression d’être une animatrice de centre aéré au zoo avec un enfant qui veut caresser le nouveau tigre du bengal au travers de la cage. Je range mon téléphone dans ma poche intérieure et me met à prier le temps que le jeune homme termine sa conversation avec le "bel homme":
Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous "pardonnons" aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal!

Une fois que j’en ai terminé avec cette courte pause je remarque que le beau jeune homme n’arrête pas de converser avec le comte Dracula. Mais ne fut pas ma surprise quand je regardais dans un coin de la supérette et que je remarquais 2 yeux de fauve me fixer.

On empêchait sa réunion avec son ami à rester là hein? On allait l'énerver lui et son acolyte c’est certain. Je fais un signe de la main; comme un "coucou"; à l’animal tout en conservant un sourire un peu trop forcé avant de couper mon guide dans sa conversation.

Excusez Drac..Monsieur, si vous le permettez j’aimerai vous l'emprunter afin qu’il puisse m’aider à trouver mon chemin ça ne sera pas long hahahaha. Encore ce rire qui me donne envie de me pendre.

Qu’on en finisse une bonne fois pour toute. Viens mon brave, guide moi vers de vrais vacances je t’en prie. Que dieu ai pitié de ma bienveillance à l'égard de cet individus. Ne me testez pas. Ne me forcez pas à l’abandonner ici je vous en conjure. Je rive alors mon regard vers le ciel espérant un signe.

Mon moralisateur me lança un regard noir à mon indolence habituelle, il reprit son chemin d'un pas précipité comme s'il retenait d'expulser sa colère. Néanmoins, j'acceptais d'éteindre ma cigarette, si les lois en décidaient ainsi soit. J'écrasais délicatement le bout fumant contre la parois de l'échoppe, lorsqu'on vint m'interpeler une nouvelle fois. Je me retournais vers la provenance de la voix, je fis face aux deux jeunes qui bavardaient auparavant avec le vieil homme resté de toute évidence à l'ombre. Je dessinais un sourire le long de mes lèvres, analysant les deux acolytes avec un calme olympien, je finis par répondre sans plus de cérémonie:

- Pas spécifiquement sur le moment, je réfléchissais voyez-vous. Répondis-je impassible.

Le garçon flanqué d'une adolescente en pleine croissance paraissait avenant envers les personnes dont il croisait le chemin, alors que la demoiselle psalmodiait dans son coin un passage de la Bible comme si elle avait entraperçu un démon. Je présumais que ce verset m'était destiné en réponse à ma présence, amplifié par ma cape rendant ma silhouette plus menaçant, c'est ce que j'en conclus. Réaction surprenant quand on constate que certains énergumènes se promenent en déguisement encore plus inaccoutumé qu'ils appellent le "Cosplay". D'après mon examen, son attitude corporelle démontrait que la croyante farouche avait la capacité d'en découdre si jamais on osait l'attaquer. Loin de moi cette idée, le combat très peu pour moi, je suis avant tout un homme de logique. La guerre ou tout aussi bien le Graal n'étaient clairement pas ma priorité, les mystères étaient bien plus essentiel qu'un vulgaire souhait.

j'observais le duo saugrenu, la fille tentait inévitablement d'entrainer son compagnon à l'éloigner à tout prix de moi. Amusé par la situation, je posais ma main sur le menton pour cogiter quelques secondes, une idée de comment passer ma journée me traversa l'esprit. Je levais les yeux vers le jeune homme amical, ignorant le cirque de sa camarade, je m'adressai à lui d'un ton diverti:

- En fait, je cherchais bien quelque chose. Dites-moi jeune homme, connaitriez-vous un endroit où il serait plaisant d'en oublier l'ennui qui me guette ? Je ne suis pas très regardant, un squatte me convient aussi.

Sérieux à propos de ma requête, j'attendais ma réponse alors que mes prunelles vinrent se déposer sur la névrosée. Je nierais pas être un tantinet sadique à amplifier ces circonstances, tant que je n'avais pas de copie conforme de Lestrade ou de tout inspecteur de Scotland Yard sous la main, je me ferais un plaisir de jouer le jeu.

Je regardais l’homme avec insistance, alors comme ça, il cherchait un endroit ou il pourrait tuer son ennui ? Je me grattais le menton et me mis à réfléchir . Bon Yoko voulait aller au pachinko ... Je n’avais qu’à l’emmener au même endroit ! Je me mettais à taper ma main droite dans ma paume gauche et lui dit :

« Je dois emmener notre demoiselle au pachinko ! Est que vous voulez venir avec nous, il y a de quoi vous divertir par là-bas, si tenté que vous appréciez les jeux d’argent et l’alcool, bien sûr !»

J’attendais la réponse de l’homme, puis lançais un regard en direction de la petite boutique, je pouvais voir le vieux Archibald dans la boutique, il jetait quelques regards en notre direction, cela me faisait mal de le voir comme ça, je posais ma main vers mon cœur et regardai le bel homme puis Yoko :

« Excusez-moi, j’en ai pour quelques secondes !»

Je me dirigeais vers la boutique en courant, dévalant la porte. Le caissier quant à lui me crier dessus , me disant de ne pas courire . Je me retrouvais face au vieil homme et lui dit :

« Archibald ... Je vais emmener Yoko et la personne devant la vitrine au pachinko ... Tu es sûr de ne pas vouloir nous accompagner ? Je suis sûr que tu t’amuserais bien, puis ça te ferais découvrir les lieux !»

Je regardais le vieil homme avec insistance, attendant une réponse de sa part, mes yeux remplit de détermination le fixer comme si je lui imposais de venir avec nous.

Une Rencontre Des Plus Banal Shido , Libre ....

Gardant d'un œil l'évolution de la conversation du trio, le vieux chasseur Britannique avait reprit entre ses mains l'une des cartes disposées sur le présentoir. La feuilletant tout en lorgnant furtivement sur le petit groupe, quelques minutes plus tard, il vit alors le jeune homme revenir en trompe au sein de l'épicerie. Venant l'accosté sans prendre la moindre pincette, le jeune Shido revint à la charge pour ce qui était de vouloir faire participer le vieux Servant à leur sortie. Venant à sourire poliment à son interlocuteur, ayant encore en tête le fait que la jeune fille avait clairement menti sur son âge, la logique prit le dessus, qui plus est cela ne l’intéresse guère pour le moment.

Navré, c'est vraiment gentil de votre part, mais je viens de voir l'heure et de me souvenir que dans peu de temps, je me dois de rejoindre mon fils. De plus de ce que je sais et de ce que la carte m'a affirmé... Lança-t-il en montrant la carte dans ses mains. ... L'endroit qu'il m'a indiqué, n'est clairement pas sur le trajet que je présume être le vôtre, du moins en toute logique.

Repliant la carte, il remercia une nouvelle fois le jeune homme et prit congé de lui, venant ainsi à s'approcher de la caisse et à tendre la carte au caissier. Payant son dû, il s'approcha de la sortie avec son achat, puis s'arrêtant au pas-de-porte de la supérette, il vint à faire signe à la jeune femme et à l'homme à ses côtés. Jouant de son chapeau comme son accoutumer dans sa courte révérence, il chercha là à attirer le regard de l'homme que lui avait reconnue, sans pour autant être certain que l'inverse était le cas. Par la suite, il reprit sa marche dans le sens inverse de la direction que devait prendre le groupe.

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Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Apparaît quelque peu énervée mais beaucoup plus calme
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits, Téléphone portable.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Une légère nervure apparaît sur le côté gauche de mon front alors que je ferme les yeux et sert des dents vis-à-vis de la situation. Je me met alors à citer une nouvelle prière que je murmure afin de passer outre le danger qui me fait face.
Seigneur crucifié et ressuscité,
Apprends-nous à affronter
Les luttes de la vie quotidienne,
Afin que nous vivions
Dans une grande plénitude.
Tu as humblement et patiemment accueilli,
Les échecs de la vie humaine
Comme les souffrances de la crucifixion.
Alors les peines et les luttes
Que nous apporte chaque journée,
Aides-nous à les vivre
Comme des occasions de grandir
Et de mieux te ressembler.

Alors comme ça ces démons nous voulaient pour quatre heures? Ils jouent de l’innocence de ce pauvre garçon altruiste? Et bien c’est ce que nous allons voir! Je prend mon courage à deux mains et m’approche du comte Dracula afin de faire plus “ample” connaissance.
Je vous prie de grandement excuser mon impolitesse à votre égard, j’étais beaucoup trop excitée à l’idée de jouer avec lui. Mais plus on est de fous plus on rit il paraît. Ôtez-moi juste d’un doute! Un homme tel que vous se plairait sans doute plus dans une librairie ou dans l’un des nombreux cafés à thème de Tokyo. Les salles bruyantes à pachinko ne sont certainement pas à votre goût n’est-ce pas? Pourquoi vouloir absolument nous accompagner si je puis me permettre cette question? Dis-je la nervure toujours présente et le sourire froid et peu accueillant montrant toute la rhétoricité de mes questions.

“Archibald” revenait par ici. Mon dieu que j’ai eut peur qu’il se joigne à nous après que mon guide soit parti l’acoster. Heureusement il se contenta de saluer de la tête et de partir… Je salue aussi de la tête par réflexe.

Je ne comprend décidément plus ce qu’il se passe. Peut être était-ce là un signe pour dire à l’autre démon de le rejoindre?

Absorbé par le comportement de l'adolescente qui de toute évidence désirait jouer les grandes, n'apprécia nullement que son guide m'invite à les suivre dans leur expédition. Je ne puis m'empêcher de lâcher un sourire taquin à la veine jaillir au-dessus de son arcade sourcilière en signe d'agacement voire de colère, je n'allais pas dissimuler ma distraction que provoquait cette jeune demoiselle. Les femmes avaient beau s'être vu plus de droits et de liberté dans les récentes années, elles me paraissaient encore si fades et peu digne d’intérêt. Autant profiter de cet instant, aussitôt, Watson m'aurait poliment rabroué étant donné qu'il connaissait mon caractère misogyne envers la gente féminine. Le Pachinko faisait partie des salles de jeux d'argent admises par l’état du Japon comme légales, je n'étais pas des plus tentés par l'argent. A mes yeux, ce n'est qu'un bien matériel utile mais pas des plus nécessaires notamment en tant qu'esprit héroïque. La boisson alcoolisée pouvait être un bon prétexte pour les accompagner, pas que je sois un alcoolique notoire bien au contraire, c'est le vice qui ne me sied comparé à l’héroïne ou l'opium. Je ne suis pourtant pas contre découvrir les alcools du pays, ma foi je reste un gourmet des bonnes choses, moins que mon cher ami Docteur.

- En effet pourquoi pas étant un étranger, il me plairait de déguster vos boissons locales.

A peine eus-je le temps de terminer mes propos, que mon interlocuteur s'engouffra dans l'épicerie afin de rejoindre le vieil homme, qui me rappelait d'une certaine façon le colonel Moran. Mais une autre personne, je n'arrivais pas y mettre la main dessus, mon palais mental a beau être grand, je ne retiens pas tous les noms qui correspondent à leur profil. Disons plutôt que je les efface, l'objectif étant que je puisse récolter un maximum d'éléments pertinents au cours de mes enquêtes et si la personne n'est pas concernée, je mets tout en œuvre pour l'oublier. Sans crier gare, la lionne sur les dents s'avança en expédiant d'une voix peu chaleureuse son envie évidente de ne pas subir ma présence, prête à m'indiquer sans détour une librairie ou un café à thème. Je perdis mon sérieux devant la tension palpable que l’autochtone dégageait, j'éclatais d'un rire cristallin en balayant les paroles de l'expéditrice.

- Allons très chère, n’exagérez point, votre ami vient seulement de me proposer de vous accompagner. Je vous remercie néanmoins de me signaler que ces établissements sont présents dans ce pays. Quant à votre déduction, certes elle n'est pas fausse mais elle n'est vrai non plus. N'ayez pas peur, je ne suis pas le grand méchant loup. Je ne me soucis pas de votre personne, si vous désirez gambader dans l'illégalité grand bien vous en fasse, si c'est une façon pour vous de vous sentir vivante. Faites s'en de même de votre côté. Répondis-je flegmatiquement.

Mes prunelles s'orientèrent instinctivement en direction du nouvel arrivant, qui sortit de la boutique. Celui-ci abaissa son chapeau en signe de politesse, je l'observais avec un peu plus d'insistance. Des réminiscences d'un diner en sa compagnie ainsi que celle de Watson surgirent de mes pensées, un célèbre aventurier de l'Afrique que Watson avait rencontré et qui voulait me le présenter pour ouïr ses formidables exploits. Un homme intéressant de ce dont je me souviens, j'avais apprécié converser sur divers points. Toutefois, je devais m'en méfier à l'heure actuelle, mort depuis plus d'un siècle, il ne pouvait être revenu à la vie que par un pacte entre Master et Servant. Je penchais la tête avec convenance avant de l'arrêter dans sa course d'un geste de la main sans animosité:

- Nous nous sommes déjà coudoyé, n'est-ce pas ?