Une Bonne Bagarre [PNJ+2]

Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Inconnu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits, Téléphone portable, Portefeuille.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Adachi, l'un des 23 arrondissements formant l'ancienne Tokyo. Cette fois j'ai été spécialement envoyée pour répondre au problème d'un fidèle. Un groupe d'individus s'amuse à cambrioler, vendre de la drogue et racketter de pauvres gens. Je dois répondre à la demande du fidèle pour faire s'abattre la justice divine. Je commence donc mon enquête comme à mon habitude dans les zones où la cible entreprend ses actions.

Les ruelles sont très propres par rapport à l'Italie c'est une chose incroyable que de voir que même les zones les plus sombres sont gardées propres. J'aime beaucoup le Japon pour ça bien que je n'en ai pas que des bons souvenirs. Je fouille les rues mais aucun indice particulier. Je remonte ma veste et m’apprête alors à enquêter sur une autre ruelle quand tout un coup un groupe de punk semble interpellé par ma présence.

Le groupe de 4 personnes avance avec une dégaine ridicule. Le plus en avant a les mains dans ses poches avec le bassin mis en avant et le dos courbé vers l'arrière. Je les laisses m'approcher peut-être font-ils parti de ceux que je recherche?
Hey qu'est-ce qu'une belle fleur comme toi fait dans ses rues? Tu ne sais pas que c'est dangereux? Laisse-nous t'accompagner dans un lieu plus sûr pour que l'on puisse *se lèche les lèvres* s'amuser.
Euuuuuuuh. Nope. Nope nope nope. Je fait un pas en arrière prise d'une sensation de dégoût alors qu'il plaque sa main violemment contre le mur. Il c'est pris pour un séducteur ce type? Je crois que je vais vomir.
Soit pas comme ça. Je suis très gentil tu vois bien. Hein les gars?
Oui chef est le meilleur. Dit le gros tas de graisse de ce groupe incroyablement repoussant. Je tente de prendre la parole en jouant le jeu de la pauvre jeune fille sans défense.
Je veux partir s'il vous plaît laissez-moi. Si c'est de l'argent que vous voulez voici mon portefeuille. Je leur tend mon portefeuille en cuir de vache. L'un d'eux en profite pour me prendre le poignet sans spécialement retenir sa force si je regarde l'état de sa poigne sur mon avant bras.
Arrêtez vous me faites mal. Laissez moi partir je vous en supplie.
Les hommes riaient et semblaient prêt à faire de moi ce qu'ils voulaient... Je voulais récolter des informations mais la bosse dans leur pantalon me laisse croire que ce ne sont juste que des déchets. Je soupire et me prépare à les annihiler ils ne manqueront à personne...

Je venait tout juste de sortir de mon université, depuis que le dôme était apparu, il n’y avait plus vraiment grand monde qui allait encore en cours. Et c’était quelque chose de bien malheureux, je décidais donc de ne pas perdre de temps et de venir m’entraîner dans le dojo de l’école. J’avais la chance d’avoir une école très sportif, il avait presque tout l’équipement nécessaire qu’importe le sport.

Je me mettais en tenue prenez un sabre en bois et commença à faire des échauffements, puis m’entraîner contre un des mannequins en bois.

Le temps passait inlassablement et nous étions déjà en milieu d’après-midi, je m’essuyais le visage avec une serviette étant tout transpirant et rangea mes affaires dans mon sac, il était l’heure de rentrer à la maison. Vu qu’il n’y avait pas de douche dans le dojo, je décidais de rester en tenue de kendo pour ne pas salir mes habits de civil, je rangeais mon sabre en bois dans sa pochette et partit donc de mon école.

Je marchais tranquillement tout en regardant le ciel, les gens dans la rue me regardaient étrangement, visiblement, il n’avait pas l’habitude de voir une personne en tenue de kendo se trimballer au milieu de la rue.

Comme a mon habitude, pour rentrer chez moi, j’avais décidé de faire un grand détour par Adachi. C’était un coin que j’aimais beaucoup me baladais, je marchais tranquillement jusqu’à entendre des voix dans une ruelle pas très loin de moi.

Je mis dirigeais un peut à la hâte étant beaucoup trop curieux pour ne pas y aller. Dans une petite ruelle sombre non loin de moi, je pouvais voir un groupe de gens avec des coupes de cheveux plus extravertie les unes que les autres, mais surtout une jeune demoiselle au milieu d’eux. Je me mordais la lèvre d’énervement et leur dit tout en m’approchant :

« Et vous qu’est que vous faites ? Si elle ne veut pas vous suivre ne la forcer pas !»

Je les regardais avec mépris, tenant toujours de ma main droite la sacoche de protection de mon sabre en bois étant prêt à réagir au moindre accord. En tout cas une chose et sur il était hors de question la jeune femme seule avec eux !

Chemin faisant vers leur repère de rebelles, basé dans les quartiers plutôt malfamés de Tokyo, le gang croisa le chemin d'une jeune femme assez mignonne. Allons bon, des inconnus venaient squatter leur territoire impunément, même si la rencontre s'en trouvait forte plaisante réveillant l'instinct animal du chef Haru et de ses compères. Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres, son imaginaire avec cette donzelle lui donna quelques pulsions supplémentaires, en bon caïd, il s'apprêtait à la terroriser voire la malmener.

Usant d'un charisme aussi étanche qu'une huitre avec son expression moribonde, il prit les initiatives avec assurance en bloquant l'échappé de l'inconnue brunette. Ses amis rirent aux tentatives désespérées de cette pauvre femme alors qu'Haru s'amusait à compresser le bras de la jeune femme avant de l'attirer contre son torse.

- Faut pas avoir peur ! On t'a dis qu'on t'escorterait en échange, tu vas nous devoir un payement en nature, si tu vois ce que j'veux dire ma belle. Jubila-t-il accompagné des éclats de rire moqueurs de ses camarades vis-à-vis de l'infortunée.

Soudain, une voix les coupa dans leur élan, un gamin ?! Oui une sorte d'adolescent aux valeurs chevaleresques à gerber venait d'apparaitre au coin de la rue, criant sur la bande de punk. Haru tiqua et referma encore plus sa prise sur sa proie en ricanant, approchant son minois pâle de celui de la demoiselle terrifiée:

-Qu'est-ce que tu as morveux, c'est ta copine ou quoi ? Si c'est le cas, je me ferais un plaisir de m'amuser avec elle sous tes yeux...Slurp. Il venait de lécher la joue gauche de la jouvencelle de manière plus que suggestive. En attendant, Yamaka et Mikiro, occupez-vous de cet impertinent qu'on lui montre qui sont les bosses dans ces quartiers ?

- Avec joie, Chef ! Répondirent en cœur les deux brutes sortant à leur tour, l'un pour sa part une chaine en métal et l'autre un couteau dont la lame était fine mais si bien aiguisée qu'elle en brillait.

Ils se jetèrent sur le jeune homme tandis qu'Haru, sa prisonnière et le quatrième larron restèrent en retrait pour admirer comment le duo allait exploser le blanc-bec.

- Alors ma jolie, une idée de par où je pourrais commencer pour te décrisper ?

(HRP: Merci de reprendre le nom du RP donné dans la demande pour que le PNJ évite de louper votre RP.)

Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Inconnu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits, Téléphone portable, Portefeuille.
Skill utilisé: Divine Wound Reflection 1 tour.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Toujours agrippée par la brute j'entends un prince sur son cheval blanc arriver au secours de ... Moi? Je prend un ère interrogée et surprise lorsque je l'entends parler c'est Shido... J'ai comme l'impression qu'il est partout où je vais chercher la merde. Il doit sacrément être malchanceux.

En voyant le risque en Shido, l'homme envoit le reste de ses troupes l'affronter. Je passe de mon rôle de "yamete kudasai" à celui de "tu va manger froid" des suites d'une lèche qu'il aurait mieux fait d'éviter. La bave du porc coule le long de ma joue. Je profite du fait qu'il s'intéresse à autre chose que mon visage pour lui faire une clé de bras en le déséquilibrant. J'accompagne mécaniquement sa poigne pour mieux pouvoir lui tordre le bras. Le problème reste l'autre gars qui observe la scène il va pas me laisser garder cette position. Je me prépare donc à contre-attaquer.

Qu’elle fut ma surprise en remarquant que la jeune femme était Yoko, décidément, je la croisais vraiment partout cette fille. À croire que Tokyo était une petite ville. Je souriais amuser de la réaction de l’homme qui jubila , visiblement, il ne voulait pas que du bien à la jeune femme .

Je profitais de leur petite discutions entre eux pour sortir mon sabre en bois de sa sacoche, jetant la protection au sol, celui-ci était d’un bois assez massif et lourd. Il n’allait vraiment pas être facile de le couper, par contre un coup sur la tête avec ce sabre et il allait le sentir passer. J’avais trouvé ce sabre en bois dans les nombreuses affaires du manoir.

Il était assez lourd à manier, mais il m’avait permis de me muscler assez pour le manier avec facilité, décidément les personnes de ma famille a qui appartenait le manoir avait de drôle d’objet ce n’était vraiment pas commun d’avoir un sabre aussi lourd à manié.

Je les regardais me mettant ainsi dans une position plus qu’étrange, malgré ma maîtrise de kendo, j’avais une posture bien à moi pour me battre. Ma main gauche devant moi et mon sabre légèrement en arrière , mes pieds poser au sol pour pouvoir donner une impulsion comme pour donner un grand coup circulaire .

Je les regardais courir vers moi, deux d’entre eux visiblement, je n’avais aucunement retenu leur prénom et je n’allais pas m’embêter à le faire.

Il ne méritait qu’une seule chose, une bonne correction. Je leur souriais et leur dis tout en gardant ma position :

« Je suis prêt, vous pouvez venir !»

J’attendais qu’il se rapproche de moi pour pouvoir les attaquer ...

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